mercredi 16 juin 2010

Premier mois à Bali

Cela fait un peu plus d'1 mois que nous sommes arrivés à Bali avec Suzie, mon amie indonésienne.
Comme je vous l'avais dit, ce n'est plus vraiment dans une optique de voyage que nous sommes mais plutôt dans le but de vivre ici quelque temps. Rassurez-vous, je ne vais pas vous raconter notre vie quotidienne car ça risque de ne pas être très intéressant pour vous.


Après notre arrivée à Denpasar, la capitale de Bali, nous nous installons quelques jours dans une guest house à Sanur, une petite ville collée à Denpasar située sur la côte Sud Est de l'île. Le temps pour nous de découvrir un peu l'île et de trouver un endroit à louer au mois.

Peu après notre arrivée, a lieu la fête hindoue de Galungan qui a commencé le 12 Mai et se termine 10 jours plus tard avec Kuningan. C'est la plus grande fête balinaise, et durant cette période, on peut voir des célébrations dans tous les temples et des penjors (longue tige de bambou décorée) partout au bord des routes.
Les penjors

La partie la plus habitée de Bali est le sud avec après Denspasar, Kuta et toutes les plages sud-est. Kuta est la plus fréquentée par les touristes puis plus au nord, le tourisme grapille du terrain avec d'abord Legian puis Seminyak, le coins branché de Bali.
Le truc qui a l'air à la mode en ce moment (et apparemment depuis déjà quelque temps), c'est les étrangers qui achètent du terrain et font construire des villas partout où ils peuvent. L'Indonésie n'a pas vraiment de restriction concernant l'accès à la propriété pour les étrangers contrairement à la plupart des autres pays en voie de développement.
Entrée d'un temple, architecture balinaise

Après une semaine, on trouvera finalement chez Nyoman, un balinais à la retraite qui loue 3 chambres de sa maison. Elle se situe à Kerobokan, un village un peu plus au nord de Seminyak sur la côte sud-ouest. C'est un endroit tranquille mais qui reste pas trop loin de tout ce qu'il faut, il nous faut quand même louer une moto dès qu'on veut aller quelque part car les transports publiques dans le coins sont quasiment inexistant.
La circulation à Bali, c'est pas vraiment un plaisir et ça peut devenir chaotique mais dès qu'on s'éloigne un peu des endroits fréquentés, ça devient plus agréable. Puis on se fait à l'absence de priorité, où plutôt à la priorité au plus gros véhicule, quitte à aller dans le fossé quand un camion qui essaye de doubler, arrive en face.
Je vous en dirais bientôt plus sur les quelques excursions qu'on a fait aux alentours.


1 commentaire:

  1. On sent que tu va avoir du mal à revenir parmi nous.
    Merci de nous faire partager ton aventure.

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